avertissement
2ème truc : chercher sur internet des artistes en tapant des mots clé variés ‘ex: lumière art contemporain ; corps art contemporain ; souffle art contemporain etc
3ème truc : aller faire des stages. En effet, le repli sur soi n’est pas bon. Ces moments de formation permettent de nous renouveler. Et nous ne mesurons parfois instantanément la portée d’une formation. Pour exemple, une formation à laquelle j’ai assisté a eu un impact sur moi à retardement mais pour des années.
4ème truc : monter un blog ! Il ne faut pas avoir peur de se lancer dans une telle entreprise même si elle est chronophage … Les retours des internautes sont très importants et revivifiants !
5ème truc : bon cela ne va pas, les idées n’arrivent pas. Vous pouvez vous appuyer sur le contrat d’expression : 1objet + 1idée = une situation d’apprentissage qu’il faudra adapter aux programmes.
6ème truc : les programmes nous invitent à créer des problèmes ouverts invitant les élèves à trouver plusieurs solutions. Et bien, rédigez vos consignes en appliquant cette directive : « chercher le plus possible de solutions différentes pour faire voir un carré léger »
7ème truc : trouver une notion riche en réfléchissant à des adjectifs : léger, bruyant, épais, lourd … et tricoter sa séquence pour amener les élèves à se poser des questions sur ces propriétés.
8ème truc : petit à petit se faire une « culture » personnelle didactique en visitant les sites et blogs disciplinaires. Regarder ce qui se fait dans le primaire, au collège et au lycée même si on est à l’université !
9ème truc : éviter de se dire « je vais faire faire ça aux élèves ! » : on risque de sombrer dans de l’occupationnel !
10ème truc : aller au Musée, sortir, regarder l’architecture, les paysages …
Si vous avez d’autres trucs, renseignez-les dans les commentaires !
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Oh l angoisse de la page blanche quand je redige le cours. Ma problématique !!! La formule magique qui fait mouche qui fait sens m echappe et se dérobe. Dans ce cas, en liason avec l entree de programme, je formule une question ouverte avec le.mot art dedans. Ou artiste.. je formule la question. Et je la pose aux élèves. Ce qui implique une vraie cohérence entre la situation didactique et les oeuvres références. 😀
Aussi !
Pour se nourrir, on peut également s’abonner à un magazine, échanger avec les collègues d’arts plastiques, se rendre dans leur classe, partager des idées, fréquenter une école d’art (atelier d’artiste, école municipale des beaux arts, ateliers d’arts plastiques dans une association ou une MJC…), ou rêver tout simplement en feuilletant des livres d’art dans une bibliothèque. Mais il y a aussi la formule « laisser le cerveau en jachère « , ou le kit « lâcher prise « , ou encore le menu « ne rien faire » pour reposer la machine. Mais ça, c’est plus difficile. … quand on est prisonnier du temps…. bon courage à tous !
Merci
Il faut surtout partir d’une analyse d’oeuvre ! On prend l’entrée de programme, on met une oeuvre dans cette entrée : celle qui y répond précisément. En faisant son analyse fine, on en dégage une problématique adaptée à un niveau de classe.
C’est un chemin mais attention à ne pas être modélisant…