L’arbre de tous temps a fait l’objet de représentations plastiques. Idéalisé, il est devenu un miroir naturel de l’homme. Mais pendant la Renaissance, l’arbre revêt une dimension symbolique et il faudra attendre les impressionnistes, peignant en extérieur, pour qu’il soit envisagé comme sujet de peinture.
Dans l’Egypte antique on trouve des représentations d’arbres« La Déesse-Arbre, la gardienne des portes de l’Au-Delà »
La Déesse-Arbre est une entité divine, exclusivement féminine, se manifestant par l’intermédiaire d’un arbre et en particulier d’un sycomore.
Cette divinité méconnue apparaît dans l’iconographie funéraire au début du Nouvel Empire. Il s’agit de l’aboutissement de la conception bienfaisante et régénératrice des arbres.
L’arbre de vie représente l’épanouissement physique et spirituel. Cela est caractérisé par sa forme. Ses racines s’enfoncent profondément sous terre tandis que ses ramifications s’accroissent et montent vers le ciel.
On le retrouve dans l’art byzantin. (ci dessous, références non trouvées)
Mais aussi au Moyen-âge :
L’Arbre de Vie, médaillon émaillé de 1160 à Huy.
L’arbre à la Renaissance revêt